Chadia Atassi a fui la Syrie, Catherine Lovey connaît bien la Russie. Les deux romancières s’attachent à écrire les bruissements du monde et à peindre les relations humaines avec attention, par-delà les frontières.
© Elisa Murcia Artengo
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Catherine Lovey et Chadia Atassi à Lausanne © Elisa Murcia Artengo
Catherine Lovey et Chadia Atassi à Lausanne © Elisa Murcia Artengo